• Elle m'a prêté le DVD du concert des 10 ans des Ogres... j'avais oublié à quel point j'aimais... J'ai (re) découvert pour la enième fois la reprise de Perret "au café du cana l" c'est absolument magnifique, y'a pas de mots...

    Chez la jolie Rosette au café du canal
    Sur le tronc du tilleul qui ombrageait le bal
    On pouvait lire sous deux cœurs entrelacés
    Ici on peut apporter ses baisers
    Moi, mes baisers je les avais perdus
    Et je croyais déjà avoir tout embrassé
    Mais je ne savais pas que tu étais venue
    Et que ta bouche neuve en était tapissée

    La chance jusqu'ici ne m'avait pas souri
    Sur mon berceau les fées se penchaient pas beaucoup
    Et chaque fois que je tombais dans un carré d'orties
    Y avait une guêpe qui me piquait dans le cou
    Pourtant ma chance aujourd'hui elle est là
    Sous la tonnelle verte de tes cils courbés
    Quand tu m'as regardé pour la première fois
    Ma vieille liberté s'est mise à tituber

    On était seul au monde dans ce bal populeux
    Et dans une seule main j'emprisonnais ta taille
    Tes seins poussaient les plis de ton corsage bleu
    Ils ont bien failli gagner le bataille
    J'aime le ciel parce qu'il est dans tes yeux
    J'aime l'oiseau parce qu'il sait ton nom
    J'aime ton rire et tous ces mots curieux
    Que tu viens murmurer au col de mon veston

    Et je revois tes mains croisées sur ta poitrine
    Tes habits jetés sur une chaise au pied du lit
    Ton petit cœur faisait des petits bonds de sardine
    Quand j'ai posé ma tête contre lui

    Dieu, tu remercies Dieu ça c'est de toi
    Mais mon amour pour toi est autrement plus fort
    Est-ce que Dieu aurait pu dormir auprès de toi
    Pendant toute une nuit sans toucher à ton corps

    Chez la jolie Rosette au café du canal
    Sur le tronc du tilleul qui ombrageait le bal
    On pouvait lire sous deux cœurs entrelacés
    Ici on peut apporter ses baisers


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  • Fidel Castro, Cuba, novembre 1973

    «La sonnerie du téléphone retentit à 6h 20 du matin à la résidence du Président Allende () pour l'avertir qu'un coup d'État était déclenché. Il alerta ses gardes du corps et décida de se rendre au Palais présidentiel de la Moneda pour défendre, à son poste, le gouvernement de l'Unité populaire. Le président et son escorte, composée de 23 gardes du corps armés de fusils automatiques, de deux mitrailleuses de 30 mm et de 3 bazookas, arrivèrent au palais à bord de quatre voitures à 7h 30 du matin.

    «Jamais un fusil ne fut empoigné par des mains si héroïques d'un président constitutionnel légitime de son peuple. Si chaque travailleur et chaque paysan avait tenu un fusil comme celui-ci dans ses mains, il n'y aurait pas eu de coup fasciste», dira Fidel Castro.(Photo Archives)

    Fusil en main, le président pénétra par l'entrée principale du palais. La Moneda était, comme toujours, gardée par des carabiniers.

    Une fois à l'intérieur, Allende réunit sa suite pour l'informer de la gravité de la situation et de sa résolution de se battre jusqu'à la mort pour défendre le gouvernement constitutionnel et légal du Chili contre le coup d'État fasciste. Il analysa toutes les possibilités et prit les premières dispositions concernant la défense de La Moneda.

    Allende, en une heure, s'adressa trois fois au peuple par la voie des ondes, proclamant sa résolution de se défendre jusqu'au bout.

    A 8h 15, un porte-parole de la junte fasciste proposa au président de se rendre, de renoncer à son poste en lui promettant un avion pour quitter le pays avec sa famille et ses collaborateurs. Le président refusa en disant que les «généraux félons ne savent pas ce que c'est qu'être un homme d'honneur ».

    Vers 9h 15, on se mit à tirer sur le palais présidentiel. Des unités d'infanterie, près de deux cents hommes au total, se lancèrent à l'attaque par les rues attenantes à la place de la Constitution. Une quarantaine d'hommes, au maximum, défendaient La Moneda. S. Allende ordonna de riposter et fit partir le premier coup de feu lui-même. L'infanterie recula, subissant de nombreuses pertes.

    Les fascistes engagèrent alors les tanks dans le combat. Plusieurs d'entre eux apparurent place de la Constitution. Plusieurs canons en position place de la Constitution ouvrirent également le feu sur le palais. S. Allende dirigeait personnellement la défense, passant d'une position à l'autre. L'âpre bataille dura près d'une heure. Les fascistes ne réussirent pas à avancer d'un seul pouce.[]

    A bout de munitions

    L'attaque aérienne commença vers 12 heures. Les premières roquettes explosèrent dans le palais. Les attaques se succédaient, le palais était secoué par les explosions. Une âcre fumée envahissait tout.

    La bataille durait depuis presque trois heures. Les défenseurs étaient à bout de munitions. Le président ordonna alors d'enfoncer la porte du dépôt d'armes de la garnison des carabiniers. Les armes ayant été distribuées, Allende ordonna à tous d'occuper leurs postes et, s'armant lui-même, dit: «Ainsi s'écrit la première page de cette histoire! Mon peuple et l'Amérique écriront le reste!»

    Entre-temps, les fascistes avaient réussi à s'emparer du rez-de-chaussée, mais les défenseurs, retranchés au premier, continuaient à repousser leurs attaques. Vers 14h seulement, les assaillants réussirent à pénétrer au premier. Salvador Allende se barricada avec plusieurs camarades dans la Salle rouge. Il fut atteint d'une balle au ventre en essayant de barrer l'entrée aux fascistes. S'appuyant sur une chaise, il continua à tirer sur les assaillants. Une deuxième balle le frappa à la poitrine et il s'effondra. On s'acharna sur son cadavre, le criblant de balles.

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  • D'abord, hier après midi, j'ai joué les poufs avec ma maman (enfin plus elle que moi d'ailleurs...) à Creteil Soleil, après avoir pesté contre les vêtements de poufs j'ai toruvé un magasin trop bien, tout plein de trucs jolis et c'est juste l'état de mon compte en banque qui m'a arrété... enfin voilà (et aussi ma maman ma offert une robe trop belle ) et c'était bien, maintenant j'ai des habits (parce que bon avant heu...).

    Le soir, déboulonneurs avec Buisson (cliquez sur les liens, parce que c'est assez relou de les insérrer et que si personne s'en sert ça va vite me saouler). Et après on a rejoint les filles et c'était drôle.

    Ninouille est venue me chercher et elle pensait que j'avais bu (ce qui était évidemment, faux...) tellement je disais de bêtises et apres on a fait des tests bêtes, dans BIBA (non on a pas acheté ça, c'était en cadeau avec les courses... maintenant qu'on l'a on l'utilise c'est tout) et ça s'est révélé des fois vrais des fois faux (comme tous les tests quoi...).
    Après, on s'est dit au revoir, parce que Ninouille elle part pendant UNE SEMAINE ENTIERE c'est pas beaucoup à première vue mais bon quand même...

    Apres j'ai dormi (fallait bien une info inintéressante, ui parce que le reste c'est censé vous intéresser..)

    Ce matin, je me suis levée aux aurores pour aller faire une prise de sang... déjà chuis une grosse trouillarde, faut le savoir... et les prises de sang ça m'angoisse... bon non mais ça a été, chuis même rentrée à pied... et puis l'infirmière était sympa enfin.

    Et puis là, je me caille dans ma chambre, y'a un truc que j'ai pas dû piger dans le réglage du chauffage...

    Et aussi (mais que d'infos aujourd'hui pfiouuu), demain c'est l'anniversaire de ma maman, comme d'hab j'ai pas de cadeaux...

    Mamz'elle Bulle

    Carlou m'a écrit une chanson juste pour na na nère...  


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  • [ Avec NiNouiLLe et Buisson, on est allés en bretagne ce week end et c'était bien, mais comme ce n'est pas l'objet de ce post, j'en parle pas ici, j'en reparlerais {peut être} plus tard avec les photos ]

    Après une moitié de nuit dans une voiture allongée sur le truc de la ceinture qui fait mal, et une autre moitié de nuit dans mon lit, RER avec des cernes jusqu'au milieu des joues, du sable dans mes chaussures et des courbatures plein les jambes.

    12h... le noeud a cédé ...
    Il paraît que je suis "attentionnée et attentive", "capable d'une grande écoute", que j'ai "trouvé ma voie" et que j'ai "toutes les qualités pour [bien] faire ce métier" ... Oh la la... comment dire merci sans (re)devenir rouge écarlate ?? Raté t'y coupera pas ma grande...

    Je le savais (que je m'étais pas trompé de voie), et que vraiment, c'est ça que je voulais faire, mais s'entendre dire qu'on en a largement les capacité, et qu'on apporte vraiment quelque chose, bah tout de suite ça fait plus que plaisir...

    Mamz'elle Bulle, en mode nuage...

    <<
    .........Elle dit :
    .........alors mtn tu fais koi?
    .........[ Mamz'elle Bulle ] dit :
    .........maintenant... je kifffe
    .............................................>>

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  • C'était devenu rare ces fois où j'avais quelque chose à dire mais pas les mots justes pour le faire, comme l'impression que c'est le cas ce soir et que, même pour les plus exercés à ce petit jeu "comprend ce que je veux dire sans m'obliger à tout formuler c'est trop compliqué là..." ça va pas être évident.
    Je m'en fiche, c'était la journée de la femme, deux roses, un oeuillet et une tulipe, trois coupes de champagne, des bonbons, du gateau au chocolat, un demi, un bus, un départ et un noeud dans le ventre.
    Beaucoup de compliments en une seule soirée, déjà deux rencontres, et comme le sentiment de ne pas s'être trompée...

    Mamz'elle Bulle

    [ la photo est de moi, j'en suis trés fière... ] 


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