• " Y a tant de façons, de manières
    De dire les choses sans parler


                                  Un sourire, une main tendue

           J'ai senti glisser le manteau
           De l'enfance

    On n'a rien gravé dans le marbre
    Mais j'avoue souvent y penser

    S'il savait le mal que j'ai eu
    A descendre

    D'ailleurs en suis-je descendu
    De tous ces jeux de transparence,

    J'ai trouvé d'autres choses à faire
    Et d'autres sourires à croiser

    A la vitesse où le temps passe
    Le miracle est que rien n'efface l'essentiel
    Tout s'envole en ombre légère
    Tout sauf ce goût de fièvre et de miel


    6 commentaires
  • Fête de l'huma 2008, ça doit être la pleine lune.

    ...Se déguiser en cowboy et ne plus avoir la force de manger des gateaux, "mais c'est pas un super-breton"

    ......Ranger ma chambre, en un peu plus d'une semaine c'est re-devenu tchernobyl... c'est incroyable ça !

    .........Décider de ne plus crier "on a cinq minutes d'avance, soit on chante soit on fait des bétises "

    ............Boire un café et dormir au soleil au parc de la mairie

    ...............Retourner au goûter, écouter Pitt Ocha en regardant mes enfants

    ..................et enfin, manger des tucs au paprica, boire du fanta et écouter Rose la fenêtre ouverte.

    .

    .

    .

    .

    .

    ...........................................................Je savais bien que ça finirai par passer.


    1 commentaire
  • J'aurai préféré pour toi juste inverser le cours des choses,
    J'aurais aimé, et toi? une main tendue, une rose.
    J'aurais aimé de toi la certitude d'un geste,
    simplement quand ca ne va pas, ne pas se fuir comme la peste

    Ils en étaient deboussolés,
    de voir que l'on tenait quand même,
    et nous les premiers étonnés,
    de récolter ce que l'on s'aime

    J'aurai préféré, ma foi, éviter nos sombre démence
    et maintes et maintes fois oublier partir en vacances,
    en vacances de toi, mais comme l'amitié nous rattrape,
    nous rattrape à chaque fois, autant tenir quand ça dérape.

    Il en étaient déboussolés
    de voir que l'on tenait quand même
    et nous les premiers étonnés
    de récolter ce que l'on s'aime.

    J'aurai bien voulu tu sais, tenir le cap sauver les murs,
    Courir sans m'arrêter, ne pas frissoner sous l'armure,
    J'aurais voulu tu sais la longue traversé tranquille,
    J'aurai même immaginer ne jamais atteindre une rive

    Ils en étaient déboussolés
    de voir que l'on tenait quand même
    et nous les premiers étonnés
    de récolter ce que l'on s'aime...

    J'aurai aimé tu sais, éviter nos fausses mesures,
    J'aurai même préféré, de nous, une lettre d'injures
    J'aurai voulu parfois oui, t'étrangler aux quatre vents,
    te serrer dans mes bras, ah ça je l'ai voulu souvent.

    Ils en étaient déboussolés
    de voir que l'on tenait quand même
    et nous les premiers étonnés
    de récolter ce que l'on s'aime.

    Ce que l'on sème...


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