• Cesser de se reveiller aux aurores alors que mon corps n'en peut plus de fatigue, que même maquillés mes yeux ne ressemblent plus à grand chose. Se décider une fois pour toutes à changer les draps là haut, et regagner mon lit au lieu de dormir sur ce canapé qui me bousille le dos. Ranger ma chambre, jeter les cours de la terminale, qui, il faut l'admettre, ne serviront sûrement plus. Trouver un agenda, qui, pour la première fois ne me servira pas à noter l'heure de ma rentrée mais celle des petits bouts qui vont devenir mes enfants jusqu'en Janvier. Tenir ses bonnes résolutions c'est bien mais c'est fatiguant aussi... J'ai découvert comment mettre mon portable en silencieux (sans vibreur même) mais le laisser allumer quand même pour avoir l'heure au milieu de la nuit. Et découvrir que le soir où l'on a décidé de rester à l'abris sous sa couette, parce que c'est mieux comme ça, les trois illimités se manifestent à un quart d'heure d'intervalle... Ha ha

    C'est de nouvau moi que mon chat vient réveiller pour le petit déjeuner, "non tiwelle, si t'as faim, tu descends, mais tu me bouffe pas les doigts... non les doigts de pied non plus... il est bête ce chat".

    Bon sur ce, je vais boire un café au chocolat . Si c'est pas la classe ça...


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  • Un concentré de ma maman en une aprés midi :

    "On ne meurt pas d'une overdose de rêves."

    Grégoire Lacroix

    "- Il manque 10 animateurs, j'ai demandé cinq filles et cinq garçons

    - Et ya moyen de choisir les garçons ? Dans l'idéal il en faudrait des autour de 21 ans, beaux, drôles intelligents et célibataires... Ah y'a pas ça dans le service ?? Bon bah heu moi je vais rentrer chez moi hein..."


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  • "C'est une question de principe, on est le 24 Août, j'estime qu'on ne ressort pas les pull maintenant. Moralité je reste en tee shirt... mais putain qu'est ce que j'ai froid ! "

    (Contre toute attente, il y a quand même quelques principes auxquels je tiens !)


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  • Il est bien trop tôt pour être déjà réveillée (surtout quand ça fait plus d'une heure) mais le marchand de sable me boycotte, ce fourbe. Un énième matin, les yeux à peine ouverts, la tête dans le coltar, devant les clips, à se nourrir de jus d'orange et de petits filous. On peut pas toujours n'avoir aucune volonté, clap clap clap Mamz'elle Bulle


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  • J'entame la page 53, chuis fatiguée, je ne sais plus quoi écrire et j'ai bien l'impression qu'il n'y a plus rien à dire. Je suis enfermée dans la cuisine, je bois coca sur coca et à la télé, un film sur l'apparition du Sida en France...

    Quant à moi, je me demande ce que je pourrais bien rajouter sur ces sales mômes...

    Dans trois semaines, c'est partiellement fini

    Dans trois mois. c'est fini.


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