• Hier, il a plus toute la journée, sans s'arreter une seule fois.

    C'est officiel, plus de parapluie...

    Bon, là [pour le moment], je suis trempée, glacée jusqu'à l'os. Quelques jours de couette, de thé au citron et ça devrait aller mieux trés rapidement... Mais faisons ça en douceur... 


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  • il pleuvait fort sur la grand-route

    elle cheminait sans parapluie

    j'en avais un, volé sans doute

    le matin même à un ami

    courant alors à sa rescousse

    je lui propose un peu d'abri

    en séchant l'eau de sa frimousse

    d'un air très doux elle m'a dit "oui"

     

    Je prends un parapluie pour deux,

    quand le ciel est pluvieux

    avec toi, on n'est pas pieds nus,

    pour aller dans la rue

     

    Pendant que certain(e)s jouent avec les parapluies comme on joue avec des toupies, mwa j'attends toujours le mien mais comme le dit si bien Saint-Exupéry : l'essentiel est invisible pour les yeux...... Alors il continue de pleuvoir sur la ville.

    Mamz'elle CléClé, qui est bien contente d'avoir repris ses habitudes avec Mamz'elle Bulle.


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  •                     Allez, allez, allez, allez !

                                                         Prends ton pied

                                                                 Pas la mouche

                                                                                     Ferme la bouche

                                                       Quand tu mastiques

                                                             C'est pas pratique

                                                         La technique

                                   Allez, allez, allez, allez !

                                                                             A pieds joints

                                                      Dans l' boudin

                                                                Allez, allez, allez, allez !

                                   Sois tactique

                                                Et prends le pied du voisin

     

    J'ai des milliards de choses à dire, sans sens, sans début et sans fin. Ce soir c'est les vacances scolaires, pas pour moi parce que j'en aie pas, mais quand même, ça me fait plaisir...  Iil est temps de commencer à reviser les  partiels. Cette année on se la joue sérieux... y'en a qui prennent ma cour pour un garage à vélo. J'ai retrouvé mes collants qui font que on peut mettre une jupe, surtout que maintenant j'ai un manteau qui va avec c'est la classeC'est bientôt mon anniversaire et j'ai l'impression d'avoir 6 ans tellement j'ai hâte. Ninouille m'a fait ecouter hier aprem une chanson geniale, dont la reprise est aussi geniale. c'est merveilleux. On a fini bien à l'avance les dossiers à rendre, quant à moi ma mission est remplie et je reçoit des textos sur le portable de ma mère "t'es géniale" la classe jvous dit. A partir de dimanche, je fais ma vie à la maison et ça ça péte... et les travaux devraient bientôt être fini. Star ac a recommencé (il fallait bien une info blague dans le post). ...
    Mamz'elle Cléclé et moi on a retrouvé nos habitudes sur msn...


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  • C'est alors qu'apparut le renard.
    -Bonjour, dit le renard.
    -Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se tourna mais ne vit rien.
    Le Petit prince
    -Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
    -Qui es-tu? dit le petit prince. Tu es bien joli...
    -Je suis un renard, dit le renard.
    -Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
    -Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé
    -Ah! Pardon, fit le petit prince.
    Mais après réflexion, il ajouta :
    -Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"?
    -Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?
    -Je cherche les hommes, dit le petit prince.Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"?
    -Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant! Il élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules?
    Le Petit prince
    -Non, dit le petit prince. Je cherche des amis.Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"?
    -C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie "Créer des liens..."
    -Créer des liens?
    -Bien sûr,dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
    -Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
    -C'est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses...
    -Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince. Le renard parut très intrigué :
    -Sur une autre planète ?
    -Oui.
    -Il y a des chasseurs sur cette planète-là ?
    -Non.
    -Ca, c'est intéressant! Et des poules ?
    -Non.
    -Rien n'est parfait, soupira le renard.
    Mais le renard revint à son idée :
    -Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appelera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu vois, là-bas, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste! Mais tu a des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'aura apprivoisé! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
    Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :
    -S'il te plaît... apprivoise-moi! dit-il.
    -Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
    -On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Il achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!
    -Que faut-il faire? dit le petit prince.
    -Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
    Le lendemain revint le petit prince.
    Le Petit prince
    -Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. à quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur... il faut des rites.
    -Qu'est-ce qu'un rite? dit le petit prince.
    -C'est quelque chose trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurait point de vacances.
    Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche :
    -Ah! dit le renard... je preurerai.
    -C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
    -Bien sûr, dit le renard.
    -Mais tu vas pleurer! dit le petit prince.
    -Bien sûr, dit le renard.
    -Alors tu n'y gagnes rien!
    -J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
    Puis il ajouta :
    -Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
    Le petit prince s'en fut revoir les roses.
    -Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.
    Et les roses étaient gênées.
    -Vous êtes belles mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.
    Et il revint vers le renard :
    -Adieu, dit-il...
    -Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
    -L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
    -C'est le temps que tu a perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
    -C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.
    -Les hommes on oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
    -Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir.

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  •  
     
    Au-dessus de mon front
    Où il tire la ficelle
    De mes rêves et mes démons
    Se font toujours la belle
    Du large des grands fonds
    Et jusqu'après la terre
    Je les sens, ainsi font
    Les yeux de mon grand-père


    Ciao Bella
    Les autres on s'en fout
    Ciao Bella
    Les autres c'est pas nous
    Ciao Bella
    Tu manques à ma vie
    Ciao Bella
    Jamais je n'oublie ta voix

    Au-delà des étoiles
    Des rives du bon Dieu
    Lui sur sa jolie toile
    Il tisse tous mes voeux
    Au détour d'un chagrin
    A l'angle de mes larmes
    Il se fraye un chemin
    Et défait tous mes drames

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