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             Lorsque les pères s'habituent à laisser faire leurs enfants,
             lo
    rsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole,
             lorsque
    les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
             lorsque
    finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne
             reconn
    aissent plus au dessus d'eux l'autorité de rien, ni personne,

             a
    lors c'est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie



    >>


    PLATON

    Mamz'elle Bulle


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  • Et un sourire...


    La nui
    t n'est jamais compte
    I
    l y a toujours, puisque je le dis
    Puisque je l'affirme
    Au bout du chagrin
    Une fenêtre ouverte
    Une fenêtre éclaie
    Il y a toujours unve qui veille
    Désir à combler, faim à satisfaire
    Un coeurnéreux
    Une main tendue, une main ouverte,
    Des yeux attentifs
    Une vie, la vie à se partager.

    P
    aul Eluard...
     
    Mamz'elle Bulle
     
    PS... Mamz'elle Cléclé a décidé de se mettre en vacances... Sans consignes tacites, je continue à colorer notre espace... On verra si elle décide de revenir ou si elle reste en congés !!  

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  • << Je ne savais pas qu'on pouvait aimer à ce point... Enfin, moi en tout cas, je croyais que je n'étais pas... programmé pour aimer de cette façon. Les déclarations, les insomnies, les ravages de la passion, c'était bon pour les autres tout ça. D'ailleurs, le seul mot de passion me faisait ricaner. La passion, la passion! Je mettais ça entre hypnose et superstition, moi... C'était presque un gros mot dans ma bouche. Et puis, ça m'est tombé dessus au moment où je m'y attendais le moins. >>


    [ Anna Gavalda ]

    Bon... voilà, je m'expose aux commentaires acerbes de Mamz'elle Cléclé et des autres hey hey m'enfin bon... C'est un peu comme la chanson de Debout sur le Zinc, c'est exactement ce que je voulais dire.... Mais enfin bref, on tombe dans un pathétique pitoyable et j'aime pas le pathétique....

    Mamz'elle Bulle

    C'est vrai que c'est hyper pathétique ^^ mais dis-mwa, ça vient d'un de ses livres ou c'est qu'a dit ça ?? parce que ça passe mieux sortant d'un livre :p je préfère les livres niais que les gens niais :D

    Mamz'elle CléClé

    Ca vient d'un livre.... alors c'est moins pire, mais tout aussi vrai :p

    Mamz'elle Bulle


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  • L'histoire est celle de Santiago, jeune berger andalou partie à la recherche d'un trésor enfoui au pied des pyramides. Dans le désert, initié par l'alchimiste, il apprendra à écouter son coeur et à déchiffrer les signes du destin.

    Voilà comment est résumé ce livre sur le verso de la couverture. Cela traduit assez bien l'atmosphère de ce livre, livre qui donne à réfléchir. Un livre merveilleux, qui fait croire à chacun que tous nos désirs peuvent se réaliser.

    Quand on veut vraiment quelque chose, l'univers conspire à sa réalisation.

    Plonge toi dans un seul grain de sable, il porte en lui l'immensité de la création car il est aussi un instant de la création...

    Deux citations tirés du livre, magnifiques non?

    C'est le livre que j'emmènerai partout dans mes futurs (j'espère !!) voyages. Et que j'emmènerai partout, tout court ^^


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  • Qui n'a jamais lules aventures de la famille Malaussene ?

    Pennac publie quatre romans l'un après l'autre, tous mieux les uns que les autres.... "Au bonheur des Ogres","la Fée Carabine","La Petite Marchande de Prose" et "Monsieur Malaussene"

    Benjamin Malaussene est un "frère de famille". Il élève ses frères et soeurs qui dorment tous dans la même chambre au ré de chaussé d'une quincaillerie...

    Pour faire bouillir la marmite il est bouc émissaire dans un grand magasin... Toujours là il faudrait pas être... il fait jamais rien mais c'est toujours lui qui prend...


    "La tribu Malaussene... On s'y attache au fil des naissances, des disparitions répétitives de la mère et de l apparition de nouveaux personnages perturbés et perturbant"





    Quatrième de couverture du premier tome

    Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Peti  s'est mis à rêver d'ogres Noël.
    Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire).
    Côté boulot, la première bombe a explosée au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la  troisième, ils m'ont tous soupçonné.

    Pourquoi moi ?

    Je dois avoir un don...


    A lire et à relire absolument...

    Mamz'elle Bulle




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